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mercredi 6 novembre 2013

Etat des lieux

Les résultats d'Oracle France sur le premier trimestre de la nouvelle fiscale ne sont pas au rendez-vous. 

L'effet généré est une pression managériale quotidienne ! Cet état d'esprit met les collaborateurs d'Oracle France en situation d'inconfort, voire de stress permanent.

Nous alertons la Direction que, dans ce contexte, les collaborateurs s'épuisent et se fragilisent.

Nous constatons que des changements profonds s'opèrent au sein de l'Entreprise tant au niveau de la stratégie que des métiers de demain :

- changement de marché (SaaS, Cloud) et réorientation de nos clients,
- adaptation de la structure partenaire d'Oracle entrainant une ré-organisation profonde d'Oracle,
- délocalisation de services (transfert continu de services vers des pays à main d'oeuvre moins coûteuse),
- mutualisation des compétences au niveau de l'Europe pour alléger la structure,
- absence de reconnaissance des salariés (stagnation des salaires et demande d'exécution mécanique des tâches ce qui entrainent une dévalorisation de l'homme dans l'Entreprise).

Nous sommes conscients que tous ces changements passeront par une restructuration de l'Entreprise, une réorientation des compétences des collaborateurs et des nouvelles façons de travailler.

Nous demandons à Oracle France de prendre en compte tous ces changements, de rassurer, d'aider les collaborateurs à se repositionner et de leur accorder la possibilité de s'adapter dans la structure en pleine évolution.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Même le cœur d'Oracle est en plein changement avec la migration de l'utilisation des bases de données vers des outils qui adressent les 3V: Volume, Variété et Vélocité.

On parle de NoSQL, Hadoop, etc (voir les annonces faites a OpenWorld sur big data). Ou en est Oracle en France?

Un seul poste ouvert en France, de développeur qui plus est, contient le mot clé "big data" sur le portail externe de recrutement Oracle. Un signe, qu'en pensez vous?

Le Blog de l'actualité sociale Oracle a dit…

Ce n'est certainement pas assez : il faudrait aussi se préoccuper des personnes actuellement sur un poste sensible et intéressées qui souhaiteraient acquérir ces compétences en leur proposant une formation adéquate ...