mardi 20 juin 2017

Le prélèvement à la source est repoussé à 2019

Le Premier ministre Édouard Philippe l'a annoncé dans une interview publiée dans Le Parisien.

Candidat, Emmanuel Macron l'avait déjà laissé entendre . Cela vient désormais d'être confirmé par son Premier ministre : le prélèvement de l'impôt à la source ne sera pas appliqué comme prévu à partir de janvier 2018.

La mise en œuvre de cette réforme, prévue par la loi de finances adoptée en décembre 2016, est "décalée au 1er janvier 2019', a annoncé Édouard Philippe dans une interview publiée sur le site du Parisien.

Le gouvernement souhaite l'expérimenter une nouvelle fois avant cette date. "C'est plutôt une bonne réforme. On la mettra en œuvre, mais on va décaler la mise en œuvre au 1er janvier 2019", a-t-il déclaré, alors qu'il était interrogé par des lecteurs du quotidien.

L'audit, la voie du compromis

Appliquer la mesure et ne pas voir l'effet de la suppression de certaines cotisations sociales sur la fiche de paie ? Ou la retarder et torpiller un dispositif jusqu'ici approuvé par les Français ? Annoncer une nouvelle expérimentation est un bon compromis entre ces deux voies pour le président Macron, et le porte-parole de "La République en Marche", Benjamin Griveaux, avait déjà annoncé, en mai dernier, la mise en place de cet audit.

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Ce mardi, le Premier ministre a donné quelques précisions sur le calendrier. Le dispositif sera d'abord testé entre les mois de juillet et septembre dans plusieurs entreprises volontaires. Ces tests feront l'objet d'un "audit, pour vérifier que ce dispositif fonctionne totalement".
"Je ne veux pas m'engager dans une réforme qui est par nature extrêmement complexe sans avoir la certitude que tout se passe bien au moment où on bascule, a-t-il justifié. Si on arrive à trouver des mécanismes un peu plus simples pour les employeurs - je pense notamment aux petites entreprises - on le fera".

Avec le prélèvement à la source, l'impôt est collecté l'année du versement du revenu et non l'année suivante, comme c'est le cas actuellement. Cette mesure a été votée dans le cadre de la loi de Finances 2017 et suscite de fortes réticences de la part du patronat.

Sur deux autres sujets, les emplois d'avenir et le tiers payant généralisé, le Premier ministre a annoncé une évaluation qui, sans être synonyme de remise en cause définitive, incite à penser à un réaménagement significatif de deux des mesures-phare du quinquennat Hollande.

vendredi 16 juin 2017

Immersion Training. Ne restons pas sous l’eau : Prenons le temps de respirer !



Les années passées l’Immersion Training, uniquement pour les commerciaux, se faisait pour EMEA dans un lieu sympa (Anvers, Barcelone, …).

Celui de l’an passé par exemple, était à Barcelone, et le contenu très riche et de très bonne qualité, si bien que suivre sérieusement les sessions était profitable.

Il y avait des restitutions de groupes de travail devant les speakers et auditeurs des sessions. Évidement il y avait aussi une belle soirée fun d’organisée, et globalement l’agenda était pour chacun totalement consacré à l’évènement, une belle occasion aussi de rencontrer ses collègues, d’élargir son « réseau », dans une ambiance conviviale.

Cette année hélas, pour des raisons de coûts sans doute, cet immersion training en live est remplacé par un format on-line, avec une date de complétion sur mi-juin, et parfois une courte session live organisée indépendamment pour chaque LOB de chaque pays. De plus la population concernée est élargie…

La durée de la formation, de l’ordre de 13h, plus des vidéos à enregistrer, est donc à peu près la même, mais évidemment tellement moins motivante. Les vidéos demandées remplacent en quelque sorte les présentations devant les groupes.

Cette nouvelle approche génère un certain agacement, notamment pour ceux qui n’avaient pas ce type de chose à faire précédemment, ou qui tout simplement trouvent l’approche un peu rébarbative…

Pour autant on est là sur une initiative portée par le Président EMEA et APAC, et nous devons en comprendre la logique. Ce training fait partie des outils de la transformation de nos ventes vers le Cloud. La pression qui est mise sur chacun pour le terminer est consécutive de l’enjeu stratégique associé !

Peut-être peut-on demander un peu de flexibilité sur la date de complétion, de sorte à ménager par exemple des engagements personnels ou projets business qui ne sont pas déplaçables.
Il faut consacrer plusieurs jours à cette activité et ce n’est pas toujours simple de pouvoir les dégager, alors que les actions commerciales de début de fiscales sont essentielles à une bonne année et déjà très prenantes et nombreuses, au vu par exemple des territoires très nouveaux de beaucoup de commerciaux et de consultants.

Nous allons porter auprès de la Direction un message de souplesse à mettre en œuvre pour donner « un peu d’air » à ceux qui, légitimement, n’ont pu consacrer assez de temps…dans les temps.

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jeudi 15 juin 2017

Aujourd’hui : Fin du "roaming" : voyageurs d’affaires, vacanciers, frontaliers, expatriés...


A partir du 15 juin, les opérateurs ne peuvent plus surtaxer les appels émis et reçus depuis l’Union européenne. Attention toutefois, il ne faudra pas rester trop longtemps à l’étranger et préférer les forfaits illimités.





Ce que change pour vous la fin des frais d'itinérance en Europe.
Les mauvaises surprises et factures d’une centaine d’euros en rentrant d’un voyage en Europe, c’est désormais terminé. A partir du jeudi 15 juin 2017, les frais d’itinérance (ou frais de roaming en anglais) sont supprimés pour les voyageurs au sein des 28 pays de l’Union européenne.
Jusqu’à présent, les opérateurs passaient des accords avec leurs homologues étrangers pour vous permettre d’accéder à leur réseau téléphonique et appliquaient des surcoûts. Parfois prohibitifs : en 2006, un Français pouvait débourser jusqu'à 1 euro par minute pour appeler avec son portable hexagonal depuis l'Allemagne, rappelle l'UFC-Que Choisir. Désormais, "quand vous utiliserez votre appareil mobile alors que vous êtes en déplacement dans l'UE, vous paierez le même prix que quand vous vous trouvez dans votre pays", assure l'Union européenne sur son site.
Pour en profiter, vous n’avez rien à faire, les opérateurs sont tenus d’éliminer les surcoûts de manière automatique.
Que change pour vous précisément la fin du roaming ? Voici quatre simulations pour clarifier les choses :
Si vous partez bronzer à Barcelone ou en Sicile...
Plus la peine de saigner votre portefeuille pour téléphoner à vos proches restés en France. Si vous ne partez que quelques jours par an dans l'un des 27 autres pays de l’Union européenne, votre forfait français s’applique. Effectuer ou recevoir un appel et envoyer un SMS ou un MMS depuis l’UE coûte le même prix que dans l'Hexagone. En l’occurrence, si vous, ou vos enfants, profitez d’un forfait avec appels et SMS illimités et que vous vous trouvez en vacances en Espagne, en Italie en Grèce ou ailleurs en UE vous ne devez rien. Vous pouvez appeler et écrire en toute confiance à n'importe quel correspondant en Europe, autant de fois que nécessaire.
Si vous possédez une carte prépayée ou un forfait limité, pas de panique. Votre communication sera simplement décomptée de votre forfait, comme si vous étiez en France. Sauf si votre crédit est épuisé : dans ce cas, il sera facturé, au maximum 3,2 centimes d’euros la minute d'appel et un centime par SMS.
Si vous (partez) travaillez de l'autre côté de la frontière...
Les mêmes conditions s’appliquent. Aucune mauvaise surprise pour l'Alsacien qui franchit le Rhin pour aller travailler en Allemagne, ou le Franc-Comtois qui va profiter de la Suisse, ou plus simplement tout « homme d’affaire » se déplaçant pour des raisons professionnelles, à condition, là encore, de s'en tenir aux appels et aux SMS. Ça se complique si vous avez besoin d'utiliser la 4G vous pouvez naviguer sur internet sans être surtaxé, mais jusqu'à un certain point. Il faut donc surveiller votre consommation de données. Et une formule alambiquée pourrait bien vous piéger.

  • Si vous avez un forfait data illimitée. C’est le prix de votre abonnement qui déterminera la quantité de données que vous avez le droit d'utiliser dans l'UE sans frais supplémentaire. Vous devez diviser le prix de votre forfait (sans TVA) par le tarif de gros du gigaoctet (Go) en vigueur – 7,70 euros en 2017 – et multiplier le tout par 2. Si votre forfait mobile vous coûte 25 euros par mois hors taxes, vous pourrez par exemple utiliser 6,49 Go de données (2 x (25/7,7) = 6,49). 
  • Si vous avez un forfait data limitée. Deux cas de figure. Si vous payez plus de 3,85 euros hors taxe par gigaoctet, vous aurez droit à la même consommation qu'en France. Si vous payez moins, la formule précédente s'applique. Votre forfait à 16 euros hors taxe vous donne droit à 20 Go de données en France ? Vous pourrez utiliser un peu plus de 4 Go dans l'UE (2 x (16/7,7) = 4,15). 
  • Si vous avez une carte prépayée. C'est votre crédit restant qui sert de base de calcul : il suffit de le diviser par le tarif de gros du Go. Exemple : s'il ne vous reste que 12 euros de crédit hors TVA, vous pourrez bénéficier de 1,5 Go sans frais dans l'UE (12/7,7 = 1,5). 
Si vous dépassez ces seuils en dehors de France, vous payerez en dehors de votre forfait les données consommées au tarif en vigueur, donc 7,70 euros le gigaoctet. Ce tarif déclinera progressivement, jusqu'à atteindre seulement 2,50 euros le gigaoctet en 2022.
Si vos enfants partent en Erasmus à Londres...
L'équation se complique. La Commission avertit en effet les consommateurs que la suppression des frais d'itinérance est réservée "aux personnes qui voyagent". Si vous utilisez un opérateur français, vous devez être en mesure "de fournir une preuve de résidence" en France ou "apporter la preuve de l'existence de 'liens stables' impliquant une présence fréquente et significative" dans l'Hexagone, "par exemple dans le cadre d'un emploi ou de la participation à un cycle d'études universitaires".
Si, pendant au moins quatre mois, vous utilisez moins souvent votre portable français en France que dans le reste de l'UE, votre opérateur peut vous demander des explications. En l'absence de réponse sous 14 jours, il pourra vous facturer des frais supplémentaires pour vos communications passées depuis l'étranger : maximum 3,2 centimes la minute d'appel, 1 centime par SMS, 7,70 euros par gigaoctet de données en 2017. Pour votre semestre d'études, mieux vaut donc prendre une ligne locale pour éviter une surfacturation.
Si vous appelez votre beau-frère en vacances à Mykonos...
Appeler à l’étranger coûte toujours, que ce soit en Europe ou en dehors du continent. Les opérateurs fixent unilatéralement leurs tarifs, comme pour les SMS. Si votre beau-frère passe ses vacances en Grèce, vous pourrez le joindre sur son numéro français sans coût supplémentaire. Mais si vous écrivez à votre cousine expatriée en Suède, méfiez-vous et renseignez-vous auprès de votre opérateur : c'est lui qui fixe le tarif.
Attention, tout n'est pas illimité
Attention, vous n'y gagnez pas sur toute la ligne. D'abord, les appels et l'accès à internet ne sont pas illimités. Pour les gros utilisateurs, l'opérateur pourra augmenter le tarif. Ensuite, si les communications sont bien incluses de l'Europe vers la France elles ne le sont pas de la France vers l'Europe. Les abonnés de Sosh ont même perdu gros puisque l'opérateur à bas coûts d'Orange a supprimé l'application Libon qui permettait d'appeler gratuitement dans tous les sens.

mercredi 14 juin 2017

Dérapage...??

Nous parlions dans notre dernier Blog du 8 Juin des Plans de Comms de cette nouvelle année fiscale. Nous les qualifions de « plans surprise », tant ils contenaient, pour nombre d’entre vous, des éléments nouveaux et disruptif. Pourtant nous avions, avec la CFTD, signé un accord sur les T&C’s avec la Direction, et nous assumons avec eux ce choix car il a permis :
  • des avancées importantes sur la rémunération pendant les absences (maladies, …),
  • des avancées critiques en neutralisant (c’est-à-dire en fixant à 1 en France) le facteur de commissionnement, «discrétionnaire", basé sur des critères bien trop aléatoires et subjectifs,
  • d’établir des moyens formels de recours sur les Plans de Comms, par une commission de suivi de l’accord T&C’s.
Même si cet accord existe il est loin de nous satisfaire mais nous pensons que des discussions positives, pourront, petit à petit, corriger les incohérences des T&C's. Nous sommes farouchement pour le paritarisme, les combat de rues type lutte des classes ne nous inspirent pas, sauf peut-être pour des situations sociales extrêmes, mettant en évidence l’échec de négociations - mais nous n’en sommes pas la chez Oracle...

Parmi les éléments les plus négatifs que doivent subir les populations « au variable », nous retenons à ce stade les thèmes majeurs suivants, souvent accompagnés d’augmentations de quotas effrayantes :
  • les quotas collectifs qui portent sur un périmètre de plus en plus vaste et de moins en moins maitrisé (un cluster, une geo…). Difficile à suivre et à contrôler…
  • le découpage en deux parties de la partie variable, 60% sur les affaires dès le premier euro vendu, mais 40% déclenchés uniquement à l’atteinte d’un objectif de croissance, c’est à dire que tant que le Revenu de l’année précédente n’est pas atteint, aucune part de cette commission n’est payée…. Le paiement démarre après l’atteinte du chiffre de l’année antérieure, et donc pourrait dans l’absolu n’être réalisé qu’au bout d’un an, voire jamais si le chiffre d’affaires de l’année précédente n’est pas dépassé…. C’est au mieux un décalage de trésorerie, au bénéfice d’Oracle, au pire une vraie diminution de salaire...
  • inexactitudes, erreurs et omissions dans le territoire, avec des comptes de plus de 500M€ partis chez Oracle Digital voire des filiales (qui portent le chiffre) de comptes affectés dans le territoire de l’IC, qui elles partent chez Oracle Digital !
Dans l’esprit de l’accord voté par la CFTC et la CFDT pour les T&C’s, nous avons entamé une nouvelle discussion avec la direction pour réfléchir à des ajustements, locaux à la France, pour amender les excès observés.

Les discussions formelles devaient avoir lieu. Hélas, la communication électoraliste d'un syndicat à tout fait capoter, en appelant ouvertement à ne pas signer, siglant leurs affiches et autres communications de titre d’horreur en tous genres, qui font peut-être rire dans un certain microcosme, mais en méconnaissance totale des pratiques chez Oracle. C’est si facile depuis son bureau d’appeler les autres à descendre dans l’arène.

Hélas ce sont les autres qui prennent les risques…. et qui les payent maintenant.

A cause de cette communication, la Direction n'a plus le support de la CORP, et a tout simplement annulé sine die toute discussion sur les T&C’s, et fermer la porte à toute évolution, fut-elle locale.

Il nous reste maintenant la commission de suivi de l’accord T&C’s (composé des syndicats signataire de l'accord : CFTC et CFDT), que nous allons mobiliser pour avancer sur les Plans de Comms de nos collègues "Sales Specialists". Ne restez pas seuls, venez nous en faire part.

C’est vraiment dommage que pour « faire des voix » ont sabote ainsi l’année entière de plus de la moitié de la population d’Oracle…. Il faudra savoir s’en souvenir.

Ce n’est pas ainsi que doivent fonctionner des négociations d’entreprise. Alors que le nouveau gouvernement s’apprête à déléguer encore plus de pouvoir de négociations à vos représentants locaux de l’entreprise, nous devons être à la hauteur des enjeux, à la hauteur de vos difficultés, à votre hauteur.

Ne vous laissez pas endoctriner. Aidez-nous à vous représenter. Soutenez-nous !

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jeudi 8 juin 2017

Plan de Comm SURPRISE !

Les collaborateurs ayant une rémunération basée sur un plan de commissionnement variable, peuvent découvrir en ce moment, à la faveur d’amicales demandes de signer vite et bien ledit plan, qu’il a un peu évolué par rapport aux pratiques passées.
  • On voit apparaitre un Facteur de commissionnement  variable selon des critères...variables. Fort heureusement, l’issue de la négociation entre les syndicats et la RH, et pour laquelle nous avons signé un accord spécifique sur les T&C’s (que seule la CGC n'a pas signé), ce facteur de commissionnement restera bloqué à 1 (ie 100%) pour cette fiscale FY18. Nous resterons vigilant pour qu’il en soit aussi ainsi, autant que possible,  les prochaines années. ...
  • Certains découvrent un partage du variable entre une rémunération au premier euro et une rémunération à partir d’un certain niveau de business ou de marge.
  • Les coefficients multiplicateurs, On Premise ou Cloud, metered ou subsription, évoluent.
  • Apparait aussi une globalisation au pays, à plusieurs pays, à la géographie, à la terre entière...le cosmos n’est pas loin, on touche déjà les nuages.
  • Inexactitudes, erreurs et omissions dans le territoire, avec des comptes de plus de 500M€ partis chez OD, voire des filiales (qui portent le chiffre) de comptes affectés dans le territoire de l’IC,  qui elles partent chez OD !!!
  • Etc...
(et n’hésitez pas à nous rapporter les « innovations » que vous découvrez…)

Notez que l’on y retrouve aussi, et nous nous en félicitons, les modalités de la gestion des absences, moins de 30 jours ou plus de 30 jours, point lui aussi issue de notre négociation avec la RH sur les T&C’s...

Envoyez-nous vos points de vus. Nourrissez en nous encore plus !

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mercredi 7 juin 2017

PSE-FY18 : Le CHSCT au plus proche de vos préoccupations



Les PSE se succèdent et comme à chaque fois votre CHSCT est tenu de se prononcer sur le recours ou pas à une expertise pour donner son avis sur ce énième projet de réorganisation. 
La CFTC et ses élus au CHSCT se sont interrogés, du point de vue des salariés à quoi pourrait servir une autre expertise ? Depuis 2015, deux expertises ont déjà été effectuées pour le compte du CHSCT. A chaque fois, les recommandations des experts n’ont pas ou peu été suivies.

Nous avons pensé pour ce nouveau PSE qu’il nous fallait aller au-delà et avons préféré allouer ce budget (d’environ 80 K€) à la mise en œuvre d’actions pour accompagner les salariés qui prennent de plein fouet la transformation de l’entreprise.
Il ne s’agit pas réellement d’un changement de cap de la part de la CFTC car ces expertises ont été précieuses pour argumenter nos avis précédents (défavorables bien sûr mais malheureusement purement consultatifs) mais simplement d’une décision initiée par la CFTC et votée unanimement par tous les élus du CHSCT pour aller au-delà des simples recommandations.
Nous tenions à vous expliquer notre position afin que ce budget qui est alloué à votre CHSCT soit le vôtre et ainsi recueillir vos idées sur vos besoins pour aborder ce changement et ce dès maintenant !
Vos élus CFTC sont à votre écoute et attendent vos retours.
CFTC'ment votre !